Histoire du Royaume de Neustrie

Le 29 juin 2021, la Principauté d'Orelia est créée par Arnaud-Justin 1er. "Le Vic" a aidé le Prince Arnaud-Justin 1er à faire une bonne Micronation. Mais Orelia était instable et cette nation est tombée 11 jours après sa création, le 10 juillet 2021

Le 11 février 2022, il est décidé de la refondation d'Orelia, sous le nom de Neustrie, et en fait, de la refondation d'un nouvel état Neustrien. Une Constitution sera rédigée et terminée le 26 février 2022, et les lois seront écrites le lendemain, le 27 février 2022.

Rapidement, la Neustrie s'agrandit, le lendemain, le 28 février 2022, il y a le premier citoyen neustrien autre que le prince Arnaud-Justin 1er inscrit à l'état civil. Quelques jours plus tard, la Neustrie décide de continuer à se faire entendre au niveau international, notamment en déposant sa candidature à l'Organisation des Micronations Francophones Unies le 1er mars 2022, qui sera acceptée le 4 mars 2022, c'est le même jour que la Neustrie acceptera la charte de l'OMFU. La Neustrie rejoindra officiellement l'OMFU le 13 mars 2022.

Mais le 14 mars 2022, un événement malheureux va frapper de plein fouet la Neustrie : alors que le monde micronational est dans une période de tension où des guerres ont lieu, la Neustrie subit un raid. Mais la Neustrie se remettra de cette attaque et poursuivra sa stratégie pour se faire connaître à l'international, elle obtiendra un traité de reconnaissance mutuelle avec la République de Nim le 23 mars 2022. A partir d'avril 2022, l'inactivité du Prince de Neustrie se fait sentir et les Neustriens souffrent de cette inactivité puisque la micronation est à l'agonie.

D'avril 2022 à début juin 2022, la Neustrie ne bouge pas et meurt peu à peu. En juin 2022, le Prince exprime sa volonté d'organiser des élections pour élire un Premier ministre. Le président du Parti National-démocrate Wilfrid Orochi sera candidat mais quelques jours après le dépôt de sa candidature, celui-ci la retirera, jugeant le débat démocratique pas à la hauteur, à cause des propos de son adversaire Alphonse Ferrero, président du Front Populaire Conservateur, qui le qualifiera de néo-nazi et d'ultra-nationaliste.

Alphonse Ferrero, étant le seul candidat, les élections n'ont pas lieu et la Neustrie continue sur la même inactivité de juin 2022 à août 2022. Mais en août 2022, de plus en plus de menaces d'exclusions de la Neustrie de l'international en raison de son inactivité sont proférées. Wilfrid Orochi pose alors à nouveau sa candidature le 12 août 2022. Le 15 août 2022, Mathieu de la Forêt est nommé premier conseiller.

Un centriste nommé Léo Vander (leader du Rassemblement vers la démocratie) se présente, mais quelques jours plus tard, Alphonse Ferrero annonce retirer sa candidature pour soutenir Léo afin de faire barrage au candidat national-démocrate, mais celui-ci retire également sa candidature quelques jours plus tard à cause de scandales révélés par Wilfrid Orochi (demande d'alliances à ses adversaires, propos contradictoires et autres affaires pesant sur le candidat centriste).

Trois minutes après ce retrait, Alphonse Ferrero redépose sa candidature afin de faire barrage à Wilfrid Orochi, mais refuse de présenter un quelconque programme alors même que le Parti National-démocrate, qui investit Wilfrid Orochi, présente un programme complet de plusieurs pages. Malgré les tentatives de pressions étrangères contre le candidat Wilfrid Orochi, les élections ont tout de même lieu et les Neustriens élisent Wilfrid Orochi comme Premier ministre avec un score de 62,50% et un taux de participation historiquement élevé de 72,73%.

Le nouveau Premier ministre Wilfrid Orochi se présente rapidement comme un homme de fer, qui ne veut rien céder, surtout à l'opposition de gauche.

Et ce visage, il l'a montré dès la première réforme de son mandat, qui est le cœur de son programme : la révision constitutionnelle de la Neustrie. Il estime qu'en l'état, la Neustrie est ingouvernable, et qu'il faut retirer du pouvoir au Prince pour en donner plus au peuple.

Il présente sa révision constitutionnelle au Conseil d'Etat, qui la refuse avec 50% des voix, mais le Premier ministre ne veut rien céder, il nomme Tristan Biard secrétaire général de la Sécurité Intérieure et de la Protection du Peuple et fait à nouveau voter la réforme constitutionnelle à l'identique (puisqu'il ne veut rien céder de cette révision constitutionnelle) au Conseil d'Etat qui l'adopte cette fois avec 66,67% des voix le 26 août 2022.

Il doit maintenant présenter cette réforme constitutionnelle à l'OMFU, mais celui-ci ayant été condamné à l'OMFU ne peut y adhérer et demande que sa condamnation soit levée, l'assemblée générale vote en faveur de la levée de sa condamnation avec 66,67% des voix. Il présente sa révision constitutionnelle à l'assemblée, qui l'accepte à l'unanimité les 29-31 août 2022.

Pour compléter et adopter définitivement cette réforme, il a organisé un référendum le 1er septembre 2022 qu'il a remporté avec 57,14% pour, 28,57% contre et 14,29% de votes blancs. Le taux de participation a été satisfaisant, malgré les doutes de l'opposition, puisqu'il a été de 70%.

Par cette révision constitutionnelle, le drapeau et les armoiries de la Principauté de Neustrie sont modifiées.

La bisexualité du Premier ministre dérange, notamment le roi de Brestand, un régime autoritaire, celui-ci "condamne l'élection du Premier ministre de la Principauté de Neustrie", qu'il qualifie de "criminel infecté par l'idéologie LGBT" et celui-ci demande la démission du Premier ministre le 28 août 2022.

Wilfrid Orochi, le concerné, répond immédiatement aux propos polémiques de Brestand : " OUI, j'aime les femmes ET les hommes et OUI ce qui est dans mon lit ne le concerne pas. [...] au pouvoir, je n'ai jamais agi pour ou contre la communauté dite LGBT+". Il a qualifié les propos de Brestand "d'horreur".

Le Premier ministre neustrien reçoit immédiatement le soutien de Fiera, Frocenos ou Jaïlavera. L'opposition de gauche menée par Leo soutient dans un premier temps Brestand, mais est obligée de faire marche arrière en raison de la controverse que ce soutien a créée, et présente ses excuses au Premier ministre, qui ne les accepte pas.

L'escalade des tensions continue, les micronations renforcent leur sécurité, Wilfrid Orochi ne met pas en place de sécurité supplémentaire car il dit ne pas avoir " peur de Brestand ", et ne veut pas céder à la peur que Brestand tente de créer, qui a menacé de faire subir à la Neustrie " une riposte unique et mémorable dans l'histoire ", ce qui permet l'escalade des tensions. Le Premier ministre neustrien rappelle sa position d'homme de fer et rappelle qu'il est prêt à aller plus loin si les intérêts de la Neustrie sont attaqués, et il a qualifié le roi de Brestand de "grande gueule, petites couilles".

Brestand continue ses provocations en interdisant l'homosexualité sur son sol le 30 août 2022, mais le Premier ministre de la Neustrie refuse de réagir et le 4 septembre 2022, Brestand annonce qu'il " déploie ses forces numériques " afin d'effectuer des " exercices militaires ". Là encore, Wilfrid Orochi refuse de céder quoi que ce soit, alors même que la Neustrie a subi une tentative d'attaque des " États-Unis prétoriens ", déjouée, la veille.

Depuis le 29 août 2022, le Premier ministre de la Neustrie n'a fait aucun discours sur Brestand et n'a même pas évoqué le sujet, et depuis le 4 septembre 2022, la situation s'est stabilisée entre les deux micronations.

Le 2 septembre 2022, la constitution révisée de Wilfrid Orochi est adoptée, mais le prince Arnaud-Justin Ier, absent, ne l'applique pas. Il est alors demandé au Premier Conseiller, conformément à la Constitution, de l'appliquer, ce qu'il refuse alors qu'il avait voté contre et tenté de faire obstacle à cette révision constitutionnelle.

Wilfrid Orochi demande à pouvoir appliquer cette révision constitutionnelle car à cause de l'inaction du Premier Conseiller Mathieu de la Forêt, les institutions neustriennes sont au point mort. Les tensions entre le Premier Ministre et le Premier Conseiller s'accentuent, alors même qu'un parti d'extrême gauche se forme et tente d'étendre l'influence de la Jailavera communiste en Neustrie.

Le 7 septembre 2022, Mathieu de la Forêt, Léopold Deuff (président du parti communiste neustrien) et Thermidor Dufferandais (sous le faux nom de "Pierre Brodor") proclament anticonstitutionnellement un Conseil de régence, qui prend tous les pouvoirs, annulent les référendums neustriens et retirent tout pouvoir au gouvernement de Wilfrid Orochi. Le gouvernement légitime crée alors un nouvel espace numérique officiel pour Neustrie (qui se maintiendra comme étant l'espace numérique officiel de Neustrie par la suite).

Il y alors deux Neustrie : une Neustrie autoritaire et extrémiste, et une Neustrie nationaliste et démocratique. Au retour du Prince Arnaud-Justin 1er, le 8 septembre 2022, acculés par les reconnaissances successives du monde micronational en faveur du gouvernement légitime de Wilfrid Orochi, les putschistes abandonnent leur coup d'état. Ceux-ci seront par la suite poursuivis par la Justice neustrienne pour ces faits. L'espace numérique du gouvernement légitime deviendra alors l'espace numérique officiel de la Principauté de Neustrie.

Le 9 septembre 2022, le Secrétaire Général de l'Organisation des Micronations Francophones Unies ou OMFU Noah Lampenois, organisation dans laquelle Neustrie est Etat-membre, dépose sa démission alors que celui-ci est très durement critiqué par le Premier ministre Wilfrid Orochi.

Malgré sa démission, celui-ci de garder ses pouvoirs et même de s'en approprier de nouveaux, menace de mort le Premier ministre de Neustrie Wilfrid Orochi et bannit toute personne exerçant des critiques à son encontre. Neustrie menace de quitter l'OMFU, le président de la République de Fiera Rocco Venti intervient et attaque l'OMFU de Lampenois, Lampenois est alors démis de ses fonctions.

Suite à cet évènement, la République de Collumie et sa colonie la Slorkatie quittent l'organisation. Une élection interne est organisée, remportée par le Premier ministre de Neustrie Wilfrid Orochi, face au candidat de la République Populaire du Dirtybiologistan Karma Spencer, avec 66,67% des suffrages, le 21 septembre 2022.

Malgré le passage à l'extrême-gauche de la République de Bourges avec laquelle Neustrie devait avoir un traité de reconnaissance mutuelle, Neustrie accroit sa puissance diplomatique, avec l'obtention d'un traité de reconnaissance mutuelle avec Aulpanne le 24 septembre 2022 et avec le Royaume du Gier le 29 septembre 2022.

La Principauté de Neustrie sera à la tête des négociations pour une nouvelle Charte de l'OMFU, voulue depuis près de 3 mois, que le Premier ministre Wilfrid Orochi obtiendra en moins d'un mois. L'organisation sera alors renommée UCMF (Union de Coopération des Micronations Francophones), et Wilfrid Orochi abaissera la durée de son mandat pour qu'il exerce ce mandat jusqu'au Wilfrid Orochi à 23h59.

La République de Fiera, meilleure alliée de la Principauté de Neustrie, qui vient récemment d'élire un président d'extrême-gauche Zakuma Diem, annonce vouloir se rapprocher de Crisardie, Jaïlavera et Fronecos, trois nations dictatoriales d'extrême-gauche avec lesquelles la Principauté de Neustrie est en guerre froide. Wilfrid Orochi annonce alors que la Principauté de Neustrie rompt le traité de garantie d'indépendance mutuelle Neustrie-Fiera, mis en place durant la présidence de Rocco Venti.

Un consul de la République Populaire du Dirtybiologistan, amer de la défaite de leur candidat au secrétariat général de l'OMFU, menace l'intégrité territoriale de la Principauté de Neustrie le 26 septembre 2022 et affirmera que l'élection de l'OMFU a été "bidouillée" par Wilfrid Orochi. Le Royaume du Bordan fera de même la même journée en soutenant publiquement le Régime fasciste de Staatskreig et le Royaume de Brestand. Une guerre Neustrie-Brestand débute ensuite le 26 septembre 2022, déclenchée par une attaque brestanienne à Neustrie et à Fiera, remportée par la Principauté de Neustrie le 4 octobre 2022, entrainant l'annexion partielle des territoires Brestaniens par la Principauté de Neustrie.

Le 10 octobre 2022, les relations Fiera-Neustrie s'aggravent un peu plus suite à l'accusation injustifiée du Président de la République de Fiera envers Neustrie qui l'accuse de "une série d'actes hostiles et qui constituent une ingérence grave". Le Premier ministre de Neustrie annonce alors que le traité de garantie d'indépendance mutuelle Fiera-Neustrie ne sera pas refait et : "Que le président de la République de Fiera préside au lieu de balancer des accusations bidons, qui dégradent ses liens avec la nation qui fut son meilleur allié. Qu'il n'oublie pas que les Fieriens et les Neustriens sont des peuples proches, qui n'accepteraient pas de telles actions du gouvernement de Fiera, et qui n'accepteraient pas la fin de la collaboration économique et culturelle qui lie nos deux nations.".

Le 3 novembre 2022, le Premier ministre Wilfrid Orochi refuse le traité d'apaisement proposée par le Royaume de Fronecos, en raison de la répression faite à l'encontre de deux Neustriens la veille.

Le 5 novembre 2022, la République de Zergue, dirigée par une gauche radicale, propose un traité de reconnaissance mutuelle à la Principauté de Neustrie, Wilfrid Orochi le refusera car il juge son dirigeant Leo Vander pas fiable, en raison de la révélation de messages hostiles de Vander contre une nation, qu'il a faite alliée 3 jours plus tard (Fronecos).

Le 11 novembre 2022, l'ancien président de la République de Fiera Rocco Venti obtient la citoyenneté Neustrienne et crée le Parti d'extrême-droite "Union Chrétienne - Libérale et Conservatrice", en sécession du Parti National-démocrate. Lui qui ventait ses mérites, il critique rapidement le Premier ministre Wilfrid Orochi, au point d'en venir rapidement aux insultes misogynes et homophobes envers certains. Il finit par partir du territoire Neustrien suite aux plaintes déposées à son encontre par Wilfrid Orochi et par Maëlys Feierblumm. Son parti sera réintégré au sein du Parti National-Démocrate le 19 novembre 2022.

Le 15 novembre 2022, les relations Neustrie-Fiera atteignent leur niveau le plus catastrophique depuis l'ouverture de celle-ci suite à l'annonce du Président de la République de Fiera de quitter l'UCMF. Le Premier ministre Wilfrid Orochi souligne alors les liens suspects du Président de la République de Fiera avec la dictature communiste de Jaïlavera, et annonce, en réponse, proposer une nouvelle révision constitutionnelle pour la Principauté de Neustrie et rédiger un texte de loi identitaire.

Alors que le président provisoire Enzo Demarle traitait de tous les noms le Premier ministre de Neustrie Wilfrid Orochi et faisait des relations Neustrie-Collumie les pires relations inter-micronationales, le 16 octobre 2022, son candidat Maxence Antoine (déjà Président de la République de Bourges) est défait face à Kolin Dakine, que Wilfrid Orochi félicitera pour son élection le jour-même.

Après quelques négociations, et malgré les pressions faites par Enzo Demarle sur le président Collumien, un traité de reconnaissance mutuelle Neustrie-Collumie est adopté le 5 novembre 2022. Enzo Demarle finira par intégrer ce gouvernement non-hostile à Neustrie, certains parleront d'un aveu de faiblesse. Le 15 novembre 2022, le Premier ministre Wilfrid Orochi félicitera son homologue collumien Stanyslas Bouchon pour sa nomination.

Le 20 novembre 2022, les services secrets neustriens découvrent que le citoyen neustrien Nathan Maups est une fausse identité, il s’agit de Léo Vander, président du Zergue qui a utilisé cette identité à des fins d’espionnage contre la Principauté de Neustrie. Wilfrid Orochi, qui les dénonce, se retrouve alors mit immédiatement en prison au Zergue. Celui-ci menace de déclarer la guerre, malgré le soutien du Royaume de Fronecos à la République du Zergue. Le bras de fer engagé ne dure alors que 24h puisque le lendemain, le président du Zergue, Léo Vander, présente ses excuses publiques et signe le Traité de Zergue, qui est un traité de sanctions diplomatiques et économiques contre Zergue. En cas de brisure du traité par l’un des deux partis, le traité spécifie que l’escalade vers la guerre entre Neustrie et Zergue pourra reprendre.

Le 5 décembre 2022, les deux micronations annoncent l’organisation d’un évènement culturel commun sur un thème hivernal.

En novembre 2022, la Banque Centrale Lux, présidée par Enzo Demarle, a refusé de donner les 30000 Lux à Neustrie, qui lui étaient dus en vertu de la population neustrienne, pour des raisons de tensions politiques avec le Premier ministre neustrien, Wilfrid Orochi. La Chambre Citoyenne neustrienne décide alors de considérer ces 30000 Lx comme une dette de la BCL envers Neustrie, qui gonfle chaque jour. Au départ, Enzo Demarle décide d’ignorer cette dette. Le 19 décembre 2022, Wilfrid Orochi annonce qu’elle s’élève à 63396 Lux et celui-ci menace de prendre l’argent dû par la force et menace, dans un grand discours 3 jours plus tard, de sortir de la Zone Économique Lux. Le 26 décembre 2022, la Principauté de Neustrie décide de prendre par la force à la Banque l’argent dû, soit 89204 Lux. Le lendemain, Enzo Demarle déclenche des sanctions économiques contre Neustrie, qui n’ont aucun effet sur celle-ci.

Appuyé par le président du Zergue Léo Vander qui a qualifié l’organisation de « peu sérieuse », la Principauté de Neustrie sort officiellement de la Zone Économique Lux le 1er janvier 2023. Il ne restera alors plus que 3 États-membres dans celle-ci : Collumie, Gier et Zergue.

Le 27 novembre 2022, Victor Martins se revendique président provisoire de Brestand, revendiquant d’avoir reversé le dictateur de Brestand Thermidor Dufferandais. Le 22 décembre 2022, le régime revendique l’élection d’Irène Fertmain à la régence de Brestand. La Principauté de Neustrie félicite la démocratisation mais garde ses distances par méfiance. Le 29 décembre 2022, Wilfrid Orochi exprime publiquement ses doutes et inquiétudes vis-à-vis de l’authenticité de la démocratie brestanienne car l’un des ministres de Brestand se nomme Pierre Brodor, qui se revendique national-socialiste et qui est une fausse identité de Thermidor Dufferandais utilisée contre Neustrie le 26 septembre 2022. Le 1er janvier 2023, Brestand publie une fausse déclaration de guerre neustrienne contre Fronecos, démentie rapidement par le Premier ministre. 5 jours plus tard, le 6 janvier 2023, Brestand décide de censurer Wilfrid Orochi pour 24h puis pour 1 semaine à partir du lendemain.

Le 7 janvier 2023, face à la fausse déclaration de guerre du 1er janvier 2023, à l’initiative de Wilfrid Orochi, Neustrie, Zergue, Gier et Furaux constituent le Congrès de stabilité des démocraties. Brestand refuse catégoriquement de le rejoindre au départ. Collumie le rejoint le 8 janvier 2023. Brestand change d’avis et souhaite le rejoindre, de même pour Fronecos : les deux demandes sont refusées par le Président du Congrès de stabilité des démocraties. Les cinq Etats-membres signent le Traité de Nisida Aspro le 27 janvier 2023, un historique traité d’isolation diplomatique de Thermidor Dufferandais et de Brestand, suite à la découverte, par les services secrets neustriens, qu’Irène Fertmain était une fausse identité de Thermidor Dufferandais et que ceci était le cas de tous les brestaniens.

Trois mois après la montée en tension entre Neustrie et Fiera, liée à l’émergence du communiste Zakuma Diem au pouvoir, le 12 février 2023, Wilfrid Orochi est condamné devant une cour fierienne par une juge partisane. A la suite de ce jugement, considéré comme ayant pour objectif d’interférer dans l’élection du Premier ministre de Neustrie. Le Premier ministre décide alors de déployer des sanctions contre Fiera, en premier lieu la rupture du traité de reconnaissance liant Neustrie à Fiera, en deuxième lieu la constitution d’un traité contre Fiera au Congrès de stabilité des démocraties. Les négociations et le contenu de celles-ci restent encore floues à ce jour, mais l’on sait que Wilfrid Orochi a obtenu l’accord du président de Collumie Kolin Dakine et du président furauxien Hugo Perret pour signer un traité sur Fiera. Le désaccord du Gier et la neutralité du Zergue n’ont pas permis l’aboutissement du traité.

Deux traités diplomatiques sont signés en deux jours : le 18 février 2023, un traité de reconnaissance mutuelle est signé entre la Principauté de Neustrie et l’Union Fédérale de la Méridionale et le 19 février 2023, un traité de garantie d’indépendance mutuelle est signé entre la Principauté de Neustrie et le Royaume du Gier.

Le 21 février 2023, le Premier ministre national-démocrate Wilfrid Orochi est réélu par les neustriens à 66,67% (contre 62,50% la dernière fois) avec un taux de participation de 85,71% (contre 72,73% la dernière fois), contre Mathis Lebrun, qu’il nommera gardien des lois.

Le 2 mars 2023, le premier ministre Wilfrid Orochi est frappé par une tentative de coup d’état, planifiée par Brestand, qui échoue. Le lendemain, des manifestations néo-nazies liées à la destitution de Mathis Lebrun pour avoir manqué à la neutralité demandée aux gardiens des lois ont lieu, et vont jusqu’à la tentative de coup d’état contre Wilfrid Orochi, qui échoue à nouveau. Ces manifestations et ce coup d’état ont été planifiées par l’ex-président du Zergue, Léo Vander, qui est prêt à s’appuyer sur les néo-nazies en raison de sa volonté de se débarrasser du Traité de Zergue une fois revenu au pouvoir.

Le 3 avril 2023, le Roi du Gier Jules 1er déclenche une répression contre la majorité relative national-démocrate, immédiatement condamnée par la Principauté de Neustrie, appuyée par l’Union de Coopération des Micronations Francophones. Le pouvoir giérois recule alors et gracie le président du Parti National-Démocrate giérois, qu’il voulait condamner à perpétuité sous l’influence des communistes giérois.

Le 18 avril 2023, la veille du retour certain au pouvoir du Zergue de Léo Vander, Wilfrid Orochi révèle un fichier des services secrets neustriens, qui indiquent que Léo Vander créait une arme de destruction numérique pour l’utiliser contre Fiera et la Principauté de Neustrie. Le 19 avril 2023, Léo Vander, président élu, annonce son intention de rompre de Traité de Zergue et donc de déclencher une guerre entre Neustrie et Zergue : Wilfrid Orochi déclenche alors immédiatement des pourparlers et des négociations, Léo Vander les ignorent et les évitent même.

Face au risque de guerre et les menaces de plus en plus persistantes de Léo Vander, la Principauté de Neustrie signe un traité de garantie d’indépendance mutuelle avec la République Furauxienne.

Le 1er mai 2023, Zergue fait voler et publier les données personnelles du Premier ministre neustrien Wilfrid Orochi, condamné par lui-même, le Congrès de stabilité des démocraties, l’Union de Coopération des Micronations Francophones et tous les alliés de Neustrie. Son président, Léo Vander, rit même d’un hommage de Wilfrid Orochi aux victimes de la Seconde guerre mondiale le 8 mai 2023 et n’hésite pas à traiter celui-ci de « porc ». Celui-ci enchaine les provocations à l’encontre de Neustrie et refuse toute négociation.

Le 12 mai 2023, Léo Vander démissionne de ses fonctions. Le communiste Bearinx devient alors le président provisoire de la République du Zergue. Le Premier ministre Wilfrid Orochi veut alors renverser le pouvoir du Zergue pour entamer une démocratisation du Zergue. Or, de fausses informations de son ministre Rocco Venti lui sont données pour qu'il déclare la guerre, à savoir que l'arme que Rocco Venti avait la tâche de créer dans cet objectif ne serait jamais prête à temps, alors que celle-ci l'était déjà depuis quelques semaines.

Alors, le 13 mai 2023, la Principauté de Neustrie, soutenue par le Royaume du Gier et la République Furauxienne, déclenche une intervention militaire au sein du Zergue et déclare donc la guerre à la République du Zergue. En l’espace de 19 minutes, l’invasion est un succès pour la Principauté de Neustrie qui prend temporairement le contrôle du territoire numérique du Zergue. Le 16 mai 2023, le Protectorat neustrien du Zergue est constitué, Théo Ligniville est nommé Président du Conseil provisoire et le lendemain, le 17 mai 2023, un traité de paix (nommé Second Traité de Zergue), un traité de reconnaissance mutuelle et un traité de garantie d’indépendance mutuelle sont signés par la Principauté de Neustrie et le Protectorat neustrien du Zergue.

Les condamnations étrangères, de Collumie et de l’UFM, tentant de déployer des sanctions anti-neustriennes, effleurent la Principauté de Neustrie. La République de Collumie de Kolin Dakine ira jusqu’à sortir du Traité de Nisida Aspro, provoquant quelques heures après à peine, malgré l’avertissement exprimé de Wilfrid Orochi, le retour de Thermidor Dufferandais dans le monde micronational. De la création du Protectorat neustrien du Zergue, émergera deux groupes séparatistes : la dite-République communiste du Zergue, dirigée par le communiste Bearinx, exilée au Royaume du Nurcimal et la dite-République du Zergue, dirigée par le néo-nazi Enzo Vulpès.

Le 14 mai 2023, le Royaume du Nurcimal déclare unilatéralement la guerre à la Principauté de Neustrie. A partir du 19 mai 2023, le groupe séparatiste d’Enzo Vulpès et la dite-République Participative du Dibistan, démarrent des tentatives d’attaques terroristes numériques quotidiennes contre la Principauté de Neustrie. Le 7 juin 2023, la guerre du Nurcimal est abandonné par le régime communiste du Nurcimal, dirigé par Kethan Hrabovszky, tandis que les attaques terroristes sont abandonnées dés le 17 juin 2023, alors même que le Protectorat neustrien du Zergue est toujours en place et se normalise.

Alors que la campagne électorale neustrienne est sur le point de débuter, le 21 juillet 2023, des attaques terroristes extrémistes ont lieu sur l’ancien espace numérique neustrien. D’abord revendiquées par des terroristes islamistes, celles-ci sont soutenues et rejoints par des néo-nazis, dont Thermidor Dufferandais.

Le Premier ministre Wilfrid Orochi, qui souhaitait démarrer un processus de succession à la tête de son parti, décide finalement d’être candidat à sa réélection en gage de stabilité. Celui-ci affronte le candidat du Parti socialiste neustrien, Nicolas Meyer. Le Premier ministre sortant démarre mal sa campagne électorale, son adversaire est donné à 40% dans les sondages, score jamais enregistré pour un candidat de l’opposition dans un sondage depuis un an, avec la candidature d’Alphonse Ferrero qui avait enregistrée 62,5% en août 2022.

Wilfrid Orochi reprend la main sur les sujets sécuritaires et institutionnels, Nicolas Meyer redescend alors dans les sondages à 33,33% contre 66,67% pour le Premier ministre sortant. Celui-ci mène une campagne très à droite, de défiance vis-à-vis des puissances étrangères et de nationalisme exacerbé et met en avant son bilan au cours de l’année passée.

Le 21 août 2023, Wilfrid Orochi est historiquement réélu avec 83,33% des voix (contre 66,67% la dernière fois) contre 16,67% des voix pour Nicolas Meyer. Le taux de participation est de 66,67% (contre 85,71% la dernière fois).

Wilfrid Orochi nomme le 26 août 2023 un Gouvernement Orochi IX, rassemblant toutes les ailes de son parti. Stephan Rottmann, pouvant plaire à l’aile droite du Parti national-démocrate, anciennement Gardien des Lois, est nommé ministre de l’économie. Sam Eragon, pouvant plaire à l’aile centriste du Parti national-démocrate, est renommé Ministre de la Culture tandis que Nicolas Meyer, pouvant plaire à l’aile gauche du PND, est nommé Ministre de la lutte contre les discriminations.

Le même jour, au cours d’un référendum, les neustriens devaient choisir entre royaume constitutionnel et démocratique avec des pouvoirs accrus pour le monarque, principauté constitutionnelle et démocratique actuelle avec de mineurs modifications, république parlementaire et république présidentielle, les Neustriens ont voté à 60% en faveur d’un royaume constitutionnel. Wilfrid Orochi et la Chambre Citoyenne neustrienne convoquent alors une Assemblée Constituante à partir du 28 août 2023.

Du 28 août 2023 au 20 octobre 2023, une série de mesures sont prises par l'Assemblée Constituante, qui adopte également de nouveaux codes et même une nouvelle Constitution, en application à partir du 21 octobre 2023 pour mettre fin à l'ère sans Prince qu'a connu la Principauté de Neustrie en début septembre 2022, d'octobre 2022 à février 2023, et d'avril 2023 à octobre 2023.

Le 15 octobre 2023, le Premier ministre Wilfrid Orochi annonce sa démission, appliquée à partir du 21 octobre 2023 afin que les neustriens puissent élire leur nouveau monarque qui nommera un nouveau Premier ministre. Cependant, du 17 octobre 2023 au 20 octobre 2023, les neustriens choisissent donc leur nouveau monarque parmi la liste de tous les citoyens neustriens et amènent Wilfrid Orochi au trône neustrien, sous le nom de Stanislas 1er de Neustrie, à 75% des voix. Il a accepté cette élection car, dans le cas contraire, Neustrie n'aurait eu ni gouvernement, ni monarque au 21 octobre 2023.

Le 27 octobre 2023, jour du passage aux 18 ans du nouveau monarque, est choisi comme date de couronnement de Stanislas 1er de Neustrie, comme Roi de Neustrie et Roi du Zergue. Ainsi, le 27 octobre devient la fête nationale neustrienne.

La veille, le 26 octobre 2023, le nouveau Roi de Neustrie fait un discours pour annoncer que les prochaines élections générales neustriennes auraient lieu le 27 décembre 2023. Il appelle dans le même temps à la création d'"une organisation en faveur de la paix et la sécurité collective".

Le 3 novembre 2023, alors que Neustrie se réconcilie avec la République de Thefernus, avec laquelle les relations furent longtemps compliquées, les tensions entre le Royaume de Neustrie et le Royaume du Neutronia explose : la Chambre Citoyenne neustrienne a proposé et a fait voté une déclaration de guerre contre le Neutronia, suite au refus de céder à un ultimatum neustrien du régime neutronien.

Cette déclaration de guerre oblige le Roi du Neutronia à revenir à la table des négociations. Après huit heures de négociations à la suite, un traité de paix neustriano-neutronien est signé, mais est rompu par le régime extrémiste neutronien le 5 novembre 2023, ignoré par le Royaume de Neustrie.

Quelques semaines après, le Neutronia entre dans une guerre civile (factice) entre communistes (son leader étant un deuxième compte du Premier ministre néo-nazi) et néo-nazis. Le régime neutronien appelle alors Neustrie à l'aide, en vain puisque le Roi Stanislas 1er de Neustrie joue la carte de la neutralité, qui lui sera reproché par les deux parties de la pseudo-guerre civile.

Le 26 novembre 2023 est l’apothéose : les pseudo-séparatistes communistes neutroniens tentent d'agresser le sol numérique neustrien, mais ils sont rapidement neutralisés. Le premier ministre neutronien Rocco Venti est forcé d'arrêter cette guerre civile, simulant une attaque décisive contre les communistes et un abandon du pseudo-groupe le 1er décembre 2023. Pour camoufler cette humiliation, il refuse aujourd'hui de parler de "guerre civile".

Alors que des troubles politiques internes frappent celle qui est la colonie de l'Union Fédérale de la Méridionale, Krakozhia, le gouverneur imposé à Krakozhia par l'UFM se rebelle contre l'UFM, et est ainsi démis de ses fonctions. Des révoltes se déclenchent dans Krakozhia, à l'unanimité contre l'occupation méridionale.
Stanislas 1er de Neustrie intervient donc et fait pression sur Mars Ultor, dictateur de l'Union Fédérale de la Méridionale, pour qu'il libère Krakozhia, en allant jusqu'à menacer l'UFM d'invasion pour pouvoir libérer Krakozhia. Le dictateur cède : Krakozhia est libérée et laissée aux mains de son fondateur : Etang Josselin.

Cependant, ce dernier va trahir la volonté populaire et va, non seulement transformer Krakozhia en une dictateur communiste ultra-répressive, mais va ensuite faire sortir Krakozhia du monde micronational en le transformant en RP : Krakozhia est morte.

Ferdinand Dupont, ancien gardien des lois de Wilfrid Orochi, est candidat sous la bannière de l'Union nationaliste et démocratique neustrienne, une coalition entre son parti (le Parti national-progressiste neustrien) et le Parti national-démocrate neustrien. Ce dernier peine à convaincre les neustrien, en raison de ses multiples retournements de veste et changements de pied. Le soutien du Parti national-démocrate, parti majoritaire dans l'opinion publique neustrienne, lui assure cependant son élection.

Elu à 55,56% avec un taux de participation de 69,23% de participation, Ferdinand Dupont est le Premier ministre le plus mal élu de l'Histoire de Neustrie, face à un parti de gauche plus puissant que jamais : le Parti socialiste neustrien qui engrange 33,33% des voix, score historique pour la gauche neustrienne.

Elu, le nouveau premier ministre Ferdinand Dupont peine à nommer un Gouvernement : au point que c'est le Roi de Neustrie Stanislas 1er en personne qui devra intervenir pour négocier avec Gaëtan Polar pour qu'il intègre le Gouvernement Dupont I. Chose faite le 6 janvier 2024, soit dix jours après son élection, Gaëtan Polar est ainsi nommé Gardien des Lois.

Le lendemain, le 7 janvier 2024, le Roi de Neustrie annonce la constitution officielle du Congrès de stabilité des démocraties 2024 avec comme Etats-membres le Royaume de Neustrie, le Shatidom d'Aulpanne, le Royaume du Gier, la République de Thefernus, la République de Sylvanor et le Royaume de Fronecos, dans le but de créer l'organisation de paix et de sécurité collective qu'il avait demandé quelques mois plus tôt.

Le 9 janvier 2024, Ferdinand Dupont, propriétaire du journal "NeustrieNews" décide de renommer le journal "NNews" en référence à ses citoyennetés neutronienne et nesquacienne, supprime le bleu neustrien ainsi que la fleur de lys du logo pour le remplacer par la couleur rouge (associée au communisme à Neustrie).

La polémique enflamme la Chambre Citoyenne et le Parti national-démocrate neustrien (parti de sa coalition) n'hésite pas à s'opposer à lui. Bien qu'il reculera dans la soirée sur ces changements d'identité, il décide de rompre la coalition qui lui a permis d'être élu. Une proposition de motion de censure est alors lancée contre Ferdinand Dupont par le Parti national-démocrate neustrien, qui sera jointe par le Parti socialiste neustrien.

Face à la montée des menaces de groupuscules communistes et de la montée d'une haine raciale anti-neustrienne (appelée neustrianophobie), le 23 janvier 2024, le Roi Stanislas 1er de Neustrie déclenche ce qu'il appelle la "Croisade pour la liberté" : une guerre multi-polaire dans le but d'éradiquer le communisme et le néo-nazisme du monde micronationale.

Abîmé à l'intérieur et étant loin d'être conforté par les sondages concernant les élections de mi-mandat, le Premier ministre Ferdinand Dupont démarre un projet secret de séparatisme république neustrien le 2 février 2024, avec l'aide de micronations extrémistes, notamment la République de Sylvanor et la République des Îles Pitcairn.

Cependant, ce projet ne retient aucun soutien et une nouvelle fois, Ferdinand Dupont est mis face à ses contradictions : faute du soutien qu'un quelconque neustrien, le projet est abandonné le 9 février 2024.

Le 17 février 2024, le Roi Stanislas 1er de Neustrie révèle au public le scandale gouvernemental qu'est ce projet de séparatisme et le jour même, Ferdinand Dupont dépose sa démission au monarque neustrien, qui l'accepte.

Alors qu'une historique primaire a eu lieu au sein du Parti national-démocrate neustrien pour départager Armando Marazzani et Henri Giordanno, sélectionnant le premier comme candidat du parti, le Roi de Neustrie annonce qu'une consultation citoyenne sur le régime politique neustrien ainsi que sur son exercice du pouvoir royal aura lieu en même temps que les élections primo-ministérielles.

Pour la première fois depuis août 2022, une élection tripartite a lieu entre Armando Marazzani (Parti national-démocrate neustrien), Nicolas Meyer (Parti socialiste neustrien) et Youri Sevostyanov (Parti international pour le développement et la paix). Alors que Nicolas Meyer est considéré comme le favori, le troisième se retrouve mis en difficulté par ses propos polémiques à l'encontre du monarque neustrien. Les voix déçues de Youri Sevostyanov vont alors majoritairement se tourner vers Armando Marazzani, qui se revendique seul candidat réellement loyaliste vis-à-vis du Roi du scrutin.

Armando Marazzani est élu Premier ministre neustrien avec 55,56% des voix (et un taux de participation de 64,29%), soit comme son prédécesseur, la pire élection pour un Premier ministre au moment de son élection. Au cours de ces élections générales, les neustriens se sont exprimées à 66,67% pour le régime politique actuel, le reste ayant choisi d'autres régimes différents et ils ont exprimé une opinion positive de l'exercice du pouvoir royal par Stanislas 1er de Neustrie à 77,78%.

A peine élu, le nouveau Premier ministre impopulaire refuse de signer de sa main les Codes du Royaume, bien qu'il accepte de signer le Pacte d'engagement national, nécessaire à sa nomination. Il essaie d'outrepasser la Constitution du Royaume en tentant de s'accorder de nouveaux pouvoirs sans vote afin de pouvoir notamment truquer de futurs votes, afin de prendre le contrôle de la Justice ainsi que d'avoir la main sur la constitutionnalité de ses propres textes, ceci sera empêché par le Roi.

Affaibli, il peine à nommer un Gouvernement et fait face à la pression de son propre parti qui lui reproche d'être complice du communisme, en refusant notamment de sanctionner le média étranger Micronews, qui diffusait de la propagande neustrianophobe. Acculé, il démissionne dans la nuit du 1er au 2 avril 2024 et poste une lettre de démission à l'étranger, où il y prononce de nombreux mensonges, injures et diffamations à l'encontre du monarque neustrien Stanislas 1er de Neustrie, qui l'a empêché de mettre fin à la démocratie directe neustrienne.

La démission d'Armando Marazzani créera une migration politique massive vers le Parti national-démocrate neustrien par certains neustriens, notamment Youri Sevostyanov (qui dissolvera son propre parti) ou encore Liza Gora, pour affirmer leur soutien au monarque.

Le Roi décide alors de nommer quelqu'un pour le remplacer provisoirement en l'attente de nouvelles élections générales.

Stanislas 1er de Neustrie nomme Liza Gora première ministre provisoire : il s'agit non seulement de la première personne à prendre le poste de chef de Gouvernement provisoire, mais il s'agit également de la première femme au pouvoir neustrien et de la première personne transgenre à occuper un poste à responsabilités à Neustrie. Elle acceptera de signer non seulement le Pacte d'engagement national mais également les Codes de Neustrie.

Liza Gora marque la rupture avec son précédesseur en décidant, dés sa nomination, de nationaliser Micronews, ainsi que la Fondation Stelar, think tank dirigé par un proche d'Armando Marazzani, pour en faire respectivement le journal Veritas Populi, et le nouveau think tank The Neustrian Stelar Thinking. L'anti-communisme de gouvernement semble de retour avec Liza Gora, une telle politique n'avait pas été menée depuis le populaire ex-Premier ministre Wilfrid Orochi (désormais Stanislas 1er de Neustrie).

Le 12 mai 2023, la première ministre provisoire Liza Gora dépose sa démission pour des motifs personnels et s'exile du Royaume de Neustrie. Le lendemain, le 13 mai 2023, elle revient en Neustrie et demande au Roi de la renommer Première ministre provisoire, ce que Stanislas 1er de Neustrie va accepter, en lui donnant une "dernière chance", selon ses propres mots. Ce retour va créer la polémique, que ce soit parmi les neustriens, ou à l'international, mais symbolise la solidité du couple exécutif.

Ce départ temporaire va causer dans sa micronation, l'Asunie, une crise du trône avec Youri Sevostyanov, ancien candidat à l'élection générale neustrienne. Cette crise du trône, dans laquelle Stanislas 1er de Neustrie et Liza Gora vont être personnellement impliqués, va conduire le nouveau dictateur asunien Youri Sevostyanov à déclarer la guerre contre Neustrie le 25 avril 2024 : c'est le début de la Grande guerre abondanienne.

Le 25 avril 2024, le Protectorat lusorien de Solarie déclare la guerre au Royaume de Neustrie, de par le poste de ministre qu'offrira Youri Sevostyanov à Malone Grancher, président du Protectorat. Le lendemain, face à la montée d'un mouvement anti-guerre en Lusorie, le Protectorat lusorien de Solarie, devenu le Canton lusorien de Solarie, est forcé d'abandonner et de signer un traité de paix avec le Royaume de Neustrie.

Dans un désir revenchard de la Guerre du Neutronia, le Royaume du Neutronia, autour duquel tourne la dite-CDI (Coalition défensive intermicronationale), permet à l'Empire asunien de rejoindre la coalition et permet ainsi aux Etats-membres de déclarer la guerre contre Neustrie : le Royaume du Nurcimal, la Principauté d'Auroria et la République de Sylvanor déclarent la guerre à Neustrie le 28 avril 2024 et le Royaume du Neutronia rejoint la guerre le 29 avril 2024. La République de Saint-Gioran se joint à la déclaration de guerre de la CDI le 28 avril 2024. Le Royaume de Neustrie est rapidement soutenu par le Royaume de Suivrac et le Shatidom d'Aulpanne, tandis que l'Empire de Natura, le Royaume fédéral de Rémosia et l'Empire de Reazie refusent de se joindre à la guerre de la CDI.

Le 29 avril 2024, la coalition anti-neustrienne mène une série de tentatives d'attaques contre le Royaume de Neustrie, qui, au nombre de seize, échoue chacune. En réprésailles, ils attaquent le Royaume skriminorial du Blümeland, le Protectorat neustrien du Zergue, le Royaume du Gier, le Royaume de Caelum, et le Royaume de Suivrac, pourtant tous neutres excepté les deux derniers qui a offert un simple soutien diplomatique à Neustrie. Ces attaques terroristes, qui vont également échouer, vont causer l'entrée en guerre du Royaume skriminorial du Blümeland aux côtés de Neustrie le 29 avril 2024, mais également du Protectorat neustrien du Zergue le 1er mai 2024 (qui sera la cible d'un ultimatum jamais appliqué du Neutronia) et du Royaume du Gier le 3 mai 2024. Ces violations de neutralité, qui seront comparés à la violation des neutralités belges et néerlandaises par l'Allemagne nazie, causeront le retrait de l'Empire de Natura de la CDI et l'échec de ces attaques causera le malaise, revendiqué par Rémosia.

La Coalition Défensive intermicronationale révèle son projet concernant Neustrie : elle souhaite, malgré le soutien passé de plusieurs de ses membres à l'accession au trône neustrien de Stanislas 1er de Neustrie, destituer le Roi pourtant confirmé par un vote populaire puis une consultation citoyenne et la Première ministre provisoire, au profit d'une restauration du Conseil de régence du Coup d'Etat du 7 Septembre, pourtant ouvertement national-socialiste (nazi), communiste et surtout inconstitutionnel.

Le 2 mai 2024, la Coalition attaque à nouveau un espace numérique qui soutient uniquement diplomatiquement Neustrie : le Congrès de stabilité des démocraties 2024, qui vise à créer une organisation intermicronationale de paix et de sécurité collective. Ces attaques conduiront au gain du soutien du Royaume de Fragne et du Congrès de stabilité des démocraties 2024 le 1er mai 2024 et la création par les asuniens anti-Sevostyanov du Protectorat neustrien de la Nouvelle-Azunie, un régime démocratique indépendant de Youri Sevostyanov, protégé par la couronne neustrienne, avec sur son trône Liza Gora, considérée comme impératrice légitime d'Asunie.

En parallèle de la guerre qui monopolise le débat public neustrien, des élections générales ont lieu : il s'agit d'un premier scrutin de la Première ministre provisoire Liza Gora, qui est opposée à l'habituel candidat socialiste Nicolas Meyer. Le 5 mai 2024, le Roi de Neustrie Stanislas 1er de Neustrie annonce une égalité entre Liza Gora et Nicolas Meyer, tous deux à 50,00% et annonce en conséquence l'organisation d'un second tour, conformément à la Constitution.

Le scrutin neustrien met en lumière l'instabililité mentale de la Première ministre provisoire candidate à un nouveau mandat. Le second tour organisé mène à une nouvelle égalité entre Liza Gora et Nicolas Meyer le 9 mai 2024. Après avoir annoncé l'organisation d'un troisième tour, le Roi de Neustrie Stanislas 1er de Neustrie apporte un léger soutien à Liza Gora, suffisant pour lui permettre de remporter l'élection : Liza Gora est élue Première ministre le 13 mai 2024 au bout d'un troisième tour avec 55,56% contre 44,44% pour Nicolas Meyer.

Affaibli, l'Empire asunien de Youri Sevostyanov accepte les négociations proposées par Stanislas 1er de Neustrie. Malgré un accord trouvé entre le Roi de Neustrie, le Gouvernement neustrien et le Gouvernement asunien, Youri Sevostyanov va finalement s'y opposer pour faire échouer les négociations le 5 mai 2024.

Ce refus de la paix, exprimé par l'Empire asunien et la CDI, va conduire au ralliement de la République d'Orion et du Duché de Basse-Marne à la cause neustrienne le 10 mai 2024.

Le 11 mai 2024, l'Empire asunien subit une violence attaque qui conduit à sa dissolution par le Gouvernement asunien, au profit d'une République d'Asunie, dirigée par son ex-premier ministre Gabriel Mayers. Un nouvel Empire asunien séparatiste va émerger avec la maîtresse de Youri Sevostyanov à sa tête : Anastasia Cialpa. La nomination de Liza Gora provoquera un tollé au sein du Royaume de Neustrie, suivi d'une révélation de trahisons et de propos anti-démocratiques de la Première ministre, la poussant à démissionner le 18 mai 2024. Le Roi de Neustrie décide de ne pas nommer de Première ministre provisoire et d'attendre de prochaines élections générales.

Le 12 mai 2024, par des pourparlers de paix lancés par le Duché de Basse-Marne, Stanislas 1er de Neustrie obtient un accord de paix avec Maddy Cuzacq pour la République de Sylvanor et Oups Iner pour la Principauté d'Auroria. Ratifié dés le 12 mai 2024 par Neustrie, il ne le sera que le 17 mai 2024 par la République de Sylvanor et il ne sera jamais officiellement ratifié par la Principauté d'Auroria.

Le 19 mai 2024, alors que de nouvelles négociations ont été ouvertes par Stanislas 1er de Neustrie entre le Royaume de Neustrie et l'Empire asunien, sur la base de conditions données par Anastasia Cialpa, et qu'un accord neustriano-asunien était parvenu, Youri Sevostyanov, fraichement nommé premier ministre de l'Empire asunien et sous le feu d'une polémique pour avoir estimé que Stepan Bandera, qui a prêté allégence à Adolf Hitler, n'était pas un nazi, a saboté l'accord et l'a refusé. Le même jour, sans motifs apparents, la République de Sylvanor et la Principauté d'Auroria coupent les négociations de paix avec le Protectorat neustrien du Zergue et le Royaume du Gier. Le 20 mai 2024, le Canton de Solarie, toujours officiellement en guerre avec le Royaume skriminorial du Blümeland, subira une violente attaque terroriste.

Le 21 mai 2024, après la constatation de violations manifestes du traité de paix par Sylvanor et Auroria (participation à des projets de séparatisme anti-neustriens, propagande de guerre, non-reconnaissance de l'Etat neustrien, etc...) signalées par le Royaume de Neustrie, la République de Sylvanor demande de modifier le traité de paix qu'ils avaient accepté quatre jours plus tôt, la demande sera refusée par le Royaume de Neustrie. En réprésailles de conflits liés à des ingérences de Maddy Cuzacq dans des micronations étrangères, Maddy Cuzacq, au nom de Sylvanor, et après la révélation par des médias neustriens de propos racistes et homophobes que celle-ci a tenu, publie les données personnelles volées de Stanislas 1er de Neustrie le 24 mai 2024. Le monarque neustrien fera de même en publiant l'équivalent en terme de données personnelles de Maddy Cuzacq. Face à la polémique, Maddy Cuzacq supprimera cette publication, ce que fera également Stanislas 1er en retour. Ces évènements conduiront à la rupture du traité de paix par la République de Sylvanor et son retour en guerre contre le Royaume de Neustrie en date du 25 mai 2024.

Les ingérences de la CDI dans le Royaume de Solarie, tout récemment indépendant de son colonisateur lusorien, causent des coups d'état de la coalition contre les dirigeants élus. Le 27 mai 2024, alors que le peuple solarien a, par le vote, adoubé Stanislas 1er de Neustrie, notamment du fait de la diffusion d'un mouvement pro-paix avec Neustrie, le Roi de Neustrie stoppe le traité de paix et le traité de reconnaissance mutuelle avec le Royaume de Solarie et lance la première attaque neustrienne dans le conflit, détruisant totalement le Royaume de Solarie. Va émerger alors le Protectorat neustrien de Solarie. Les restes de la Solarie seront annexés par l'Empire asunien de Youri Sevostyanov, revenu récemment au trône de l'illégitime Empire asunien. S'en suivra une déclaration de guerre de la République lusorienne, ancienne colonisatrice de la Solarie, contre le Royaume de Neustrie sur ce prétexte, par Kolin Dakine. Le même jour, le Roi de Neustrie Stanislas 1er de Neustrie annonce la signature d'un accord de paix avec la République d'Asunie, conduisant à la dissolution du Protectorat neustrien de la Nouvelle-Azunie. La République d'Asunie soutient officiellement diplomatiquement le Royaume de Neustrie.

Les tentatives de séparatismes sylvanoriens contre Rémosia causent le ralliement du Royaume de Rémosia à la cause neustrienne. Les mouvements pro-paix avec Neustrie vont se diffuser à l'intérieur de la CDI, conduisant à une révolution au sein du Duché de Fuara et d'une attaque neustrienne contre le Duché d'Uralie, tous deux fruits de la colonisation aurorienne.

Non rédigé

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